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Les pôles pastoraux

Santé

En méditant sur Jésus sur la croix, son cri « J’ai soif ! », résonne avec les souffrances de l’humanité — la maladie, la solitude, les incompréhensions, les troubles de l’âme et bien d’autres formes de souffrance. Ce cri, « tout être le murmure ou le prononce à son tour avec l’accent du désespoir ou de la foi » (Elisabeth Leseur-Pensées de chaque jour). C’est un rappel du besoin universel de compassion, de tendresse, de paix et de fraternité.

La raison d’être de l’Église dans son pôle santé est de se tenir aux côtés des personnes, à l’écoute de ces cris, témoin d’un Christ aimant, compatissant, source puissante de consolation, de guérison et de délivrance.

Le pôle santé est composé de plusieurs services : le Service Evangélique des Malades (SEM), les Aumôneries Hospitalières (AH), la Pastorale des Personnes porteuses de Handicaps (PPH) présents dans les paroisses, les foyers d’hébergement spécialisé, le domicile, les EHPAD, les établissements de santé. Il est composé de personnes formées (écoute, foi, sacrements…) et envoyées par l’Église dans leurs lieux de mission.

Face aux divers défis et souffrances de notre monde, le pôle santé se déploie en affirmant sa solidarité et son soutien avec tous les personnels de santé, (la Pastorale des Soignants) partageant la volonté d’un engagement éthique pour tous les hommes.
Ce pôle est au service de tous ceux qui s’approchent de près ou de loin des personnes souffrantes : familles, proches aidants et personnel soignant. 

Le pôle santé est une réponse concrète de notre vocation à prendre soin des autres, affirmant que chaque geste de compassion et de présence auprès des souffrants est un écho de l’amour de Jésus. C’est un appel à vivre pleinement notre humanité, en reconnaissant la souffrance autour de nous et en y répondant avec générosité et amour.

Il est signe pour rappeler à tout chrétien que la compassion est ancrée dans sa vocation baptismale. « L’accompagnement pastoral n’est pas seulement la tâche réservée à quelques ministres spécifiquement dévoués à cela…Le ministère de la consolation est un devoir de tout baptisé, en se souvenant de la parole de Jésus : « J’étais malade et vous m’avez visité. » (Mt 25,36). Pape François.

 

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